Collaboration EDUCAM et Cefora : zoom sur quelques formations

Une sélection de dix formations EDUCAM non techniques, des formations qui portent sur tout le trajet que parcourt le client et qui ont une touche pratique comme fil conducteur. C'est la résultante de la collaboration plus étroite d'EDUCAM et de Cefora. À titre d'exemple, nous donnons un aperçu de deux de ces formations.

« Notre collaboration avec Cefora tourne autour de l'ouverture de formations existantes, et non du développement de nouvelles formations », commence Yannis De Swert, Consultant Business Training, Coaching & Consultancy chez EDUCAM. « Il n'est pas étonnant que nous ayons fait une sélection de formations non techniques. Le public cible de Cefora se compose tout simplement d'employés. Avec cette sélection, nous travaillons sur deux domaines : la vente et l'après-vente. Nous couvrons ainsi tout le trajet que parcourt le client. De l'accueil dans le showroom, suivi par la communication d'informations et les démonstrations, à la vente, mais aussi les contacts qui ont encore lieu par la suite. Après la vente aussi, la relation avec le client reste extrêmement importante. Déterminante même pour la fidélisation. »

À titre d'exemple, voici un aperçu de deux formations qui font partie de la sélection.

Gérer l'atelier en termes de chiffres

Le principal objectif de cette formation de quatre jours est d'améliorer l'organisation de l'atelier. Et cela se fait en tenant compte de plusieurs composantes. « Mesurer, c'est savoir » en est une. Vous ne pouvez apporter des adaptations et des changements que si vous connaissez les chiffres. « Améliorer les processus » est une autre composante. Pourquoi faites-vous les choses de cette manière ? Cela ne peut-il pas se faire différemment et plus efficacement ? Pour finir, la troisième composante est « Tirer le personnel vers le haut ». Des changements ne peuvent être une réussite que s'ils sont suffisamment soutenus parmi les collaborateurs. Vous pouvez élaborer les plus beaux plans, mais si vos collaborateurs ne vous suivent pas, ces plans sont voués à rester lettre morte. Autrement dit, il est essentiel de diriger une équipe de manière équilibrée.

« Ce n'est pas un hasard si nous traitons justement ces trois composantes ensemble dans la formation », poursuit Yannis De Swert. « Avant, nous ne le faisions pas, mais nous avons constaté que la formation a plus de succès en les regroupant. En outre, il y a encore d'autres leçons que nous avons tirées de l'expérience acquise. Le fait de diriger reste souvent un point difficile, et c'est précisément pourquoi il reçoit beaucoup d'attention. La communication entre les différents services est aussi un important point sur lequel il faut travailler. Imaginez qu'un véhicule entre dans l'atelier sur rendez-vous, mais que les pièces nécessaires n'ont pas été commandées. C'est non seulement gênant vis-à-vis du client, mais cette mauvaise harmonisation a également un coût. »

Vendre des véhicules électriques

« Cette formation d'un jour est une réaction à la constatation que les véhicules électriques constituent en ce moment un "sujet brûlant" », explique Yannis De Swert. « Les clients ont de nombreuses questions, ce qui nécessite une connaissance des produits, y compris pour les personnes qui exercent une fonction non technique, comme les vendeurs. Nous remarquons actuellement que beaucoup d'entre eux gèrent assez maladroitement les questions qui leur sont posées. Grosso modo, il y a deux types de clients : ceux qui sont déjà convaincus, mais qui se débattent encore avec quelques questions pratiques, et ceux qui ne le sont pas encore et qui souhaitent avoir des réponses à des questions plus fondamentales. Pour pouvoir donner toutes ces réponses, il faut s'y connaître dans différents domaines. Il y a bien entendu l'aspect technique du fonctionnement exact d'un véhicule électrique ou hybride. Mais il y a aussi l'aspect fiscal. Ou des questions très pratiques sur la recharge, le type de connecteur à utiliser, etc. Cette formation y prépare le stagiaire. »

Effort principal en automne

« En ce qui concerne le timing, nous misons surtout sur l'automne pour que notre offre ait atteint sa vitesse de croisière », déclare Yannis De Swert. « Cela a ses raisons. Nous voulons nous y mettre autant que possible après la crise du coronavirus. Pourquoi ? À ce moment-là, les formations présentielles seront à nouveau possibles. Un plus grand groupe pourra également se rassembler. La valeur ajoutée des formations classiques avec une interaction entre les stagiaires et le formateur est évidente. Mais l'expérience nous apprend aussi que les contacts mutuels sont enrichissants et très appréciés. »

Découvrez l'offre complète ici